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Abstract


ABSTRACT
Introduction. Le paludisme est la maladie infectieuse la plus répandue dans le monde, surtout dans les pays en développement. L’organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de le diagnostiquer biologiquement avant la mise en route d’un traitement antipaludique. Plusieurs de tests sont disponibles pour son diagnostic, avec cependant des différences de sensibilité et de spécificité. D’où la réalisation de ce travail pour apprécier la place de la biologie moléculaire dans le diagnostic du paludisme de l’enfant. Matériels et méthodes. Il s’agissait d’une étude prospective et monocentrique, concernant les enfants âgés de 0 à 15 ans hospitalisés entre le 1er juillet et le 31 décembre 2018. Résultats. Au total, notre étude avait porté sur 6 cas au paludisme. L’âge moyen était de 9,5 ans et il y avait autant garçons que de filles. Les tests diagnostiques utilisés dans cette étude étaient le test de diagnostic rapide, la goutte épaisse et la biologie moléculaire. La densité parasitaire moyenne était de 32098/mm3. Plasmodium falciparum étant la seule espèce plasmodiale retrouvée. Chez un enfant (cas 9), les tests de diagnostic du paludisme étaient discordants. Tous les enfants (100%) ont été traités par Artésunate injectable. Conclusion. La goutte épaisse reste le gold standard dans le diagnostic biologique du paludisme de l’enfant.


RÉSUMÉ
Introduction. Malaria is the most common infectious disease in the world, especially in developing countries. The World Health Organization (WHO) recommends that it be diagnosed biologically before antimalarial treatment is started. Several tests are available for its diagnosis, but with differences in sensitivity and specificity. Hence the need for this study to assess the role of molecular biology in the diagnosis of malaria in children. Methods. his was a prospective and monocentric study, concerning children aged 0 to 15 years hospitalised between 1st July and 31 December 2018. Results. A total of 6 malaria cases were included in our study. The mean age was 9.5 years and there were as many boys as girls. The diagnostic tests used in this study were the rapid diagnostic test, the thick drop and molecular biology. The mean parasite density was 32098/mm3. Plasmodium falciparum was the only plasmodial species found. In one child (case 9), the diagnostic tests for malaria were inconsistent. All children (100%) were treated with Artesunate injection. Conclusion. Thick blood film remains the gold standard in the biological diagnosis of malaria in children.

Keywords

Test de diagnostic rapide, goutte épaisse, biologie moléculaire, paludisme, enfant

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This work is licensed under a Creative Commons Attribution-NonCommercial-NoDerivatives 4.0 International License.

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AA, N. ., I, B. ., N, S. ., D, B. ., L, T. ., Y, K. ., Y, K. ., & A, S. . (2022). Place de la Biologie Moléculaire dans le Diagnostic du Paludisme de l’Enfant. HEALTH SCIENCES AND DISEASE, 23(3). https://doi.org/10.5281/hsd.v23i3.3465
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